Vous avez l’opportunité de suivre un coaching professionnel et vous vous posez des questions ?
Pas de panique ! Loin d’être une punition ou un aveu de faiblesse, le coaching est un outil puissant pour dépasser ses blocages et atteindre un nouveau cap. Mais pour que l’expérience soit bénéfique, voici 6 choses essentielles à savoir pour bien aborder votre accompagnement.
- Non, vous n’avez pas un problème, vous n’êtes pas malade, et vous n’allez pas vous faire virer.
- Suivre un coaching nécessite d’être volontaire et engagé.
- Soyez rassuré(e), le coaching est confidentiel.
- Il est important que vous choisissiez votre coach.
- Vérifiez que votre coach est certifié.
- Ce n’est pas une formation, vous êtes acteur.
1. Non, vous n’avez pas un problème, vous n’êtes pas malade, et vous n’allez pas vous faire virer.
Autant entrer dans le vif du sujet et crever l’abcés tout de suite. Non, si on vous propose de suivre un coaching, ce n’est pas parce que vous avez un souci ou que l’on veut vous sortir des effectifs. Bien au contraire, c’est un investissement sur vous-même, et il faut le voir comme une opportunité. Si votre Rh ou votre N+1 vous propose un coaching, c’est parce qu’il ou elle croit en vous, en votre potentiel, et souhaite vous voir progresser. En d’autres termes, on vous donne une chance de lever les freins qui vous empêchent d’atteindre un nouveau palier dans votre carrière ou qui vous empêchent d’être épanoui(e).
Mais en France, il existe encore une certaine méfiance, voire parfois une forme de honte, à l’idée de se faire accompagner. Il y a encore peu de temps, il n’était pas de bon ton de dire que l’on consultait un psy. Les mentalités évoluent (encore trop lentement) et de nos jours, cela commence enfin à être perçu comme une initiative, un investissement pour soi. Alors si on vous propose de suivre un coaching, foncez ! Et si, en plus, c’est pris en charge par l’entreprise, c’est encore mieux.
2. Suivre un coaching nécessite d’être volontaire et engagé.
Un coaching ne peut fonctionner que si vous êtes réellement partant. Si vous vous sentez forcé de le faire, que ce soit par votre entreprise ou votre entourage, ça ne sert à rien. Vous perdrez votre temps, votre coach aussi, et l’entreprise de l’argent.
S’engager dans un coaching signifie être prêt à réfléchir sur soi, à prendre conscience de certaines problématiques et à relever des défis. Cela demande une implication réelle et une volonté d’évoluer.

3. Soyez rassur(é) le coaching est confidentiel.
Il existe un cadre déontologique strict qui protège les échanges entre un coach et son coaché. À aucun moment, votre coach ne divulguera ce qui est dit lors des séances à votre DRH, à votre manager ou à qui que ce soit d’autre. Vous évoluez dans un espace sécurisé, basé sur la confiance et le non-jugement, où vous pouvez vous exprimer librement.
4. Si on vous propose de suivre un coaching, il est important que vous choisissiez votre coach.
On vient de parler de la notion de confiance, c’est (du moins pour moi) la clé du coaching.
Ces phrases, je les ai vraiment entendues :
- On travaille déjà un coach, c’est une connaissance de direction.
- Notre CEO veut qu’on passe par ce coach parce qu’il connaît bien l’entreprise et il veut que le coaching réussisse. (Si l’approche est intéressante, cela reste une fausse bonne idée).
- J’ai une casquette de coach dans l’entreprise, c’est moi qui m’en charge.
Même s’il s’agit d’excellents professionnels, cela ne veut pas forcément dire que ce sera LA bonne personne pour vous accompagner. Vous allez aborder des sujets profonds, qui peuvent être inconfortables, et cela nécessite une connexion authentique avec votre coach, un fit comme on dit. Il est donc primordial que vous puissiez choisir la personne avec qui vous vous sentez à l’aise, en confiance et prêt à explorer des sujets challengeants.
👉 Article recommandé : Comment choisir un coach professionnel ?
5. Vérifiez que votre coach est certifié.
Si votre coaching est proposé par votre RH ou votre manager, il y a de fortes chances qu’ils aient déjà prévu que vous travailliez avec un coach certifié. Mais dans le doute, vérifiez cette info. Le coaching ne s’improvise pas : il ne suffit pas d’avoir lu quelques livres de développement personnel pour être coach.
En tant que coach certifié, il ou elle a suivi une formation rigoureuse, respecte une méthodologie, adopte une posture adaptée et garantit un cadre structuré.
C’est essentiel pour vous assurer que votre coaching soit réellement bénéfique et vous apporte des réponses concrètes.
6. Ce n’est pas une formation, vous êtes acteur !
Contrairement à une formation où un expert vous transmet un savoir, un coach ne vous donnera pas de solutions toutes faites ni de conseils directs. Son rôle est de vous poser les bonnes questions, parfois déstabilisantes, pour vous amener à une prise de conscience et à une réflexion constructive. Il vous aidera à identifier vos contradictions et à explorer de nouvelles perspectives pour avancer.
On a pour habitude de dire que :
En tant que coaché, vous avez en vous toutes les solutions pour atteindre vos objectifs. Le coach est là uniquement pour vous aider à les mettre en lumière.
Comment ça se passe chez Hektore ?
Chez Hektore, nous mettons tout en œuvre pour vous offrir une expérience de coaching de qualité.
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